2016

31 e dimanche du temps ordinaire – Année C
  • Les trois lectures de ce dimanche évoquent un Dieu qui fait justice. La justice de Dieu, ce n’est pas un sujet facile, à priori !
  • Il faut comprendre cette justice dans la logique de notre Seigneur Jésus Christ.
La deuxième lecture d’aujourd’hui est adressée à une communauté qui est troublée par des rumeurs et des fausses révélations sur la fin du monde ….Nous connaissons cela…. L’Apôtre Paul nous recommande de ne pas nous laisser effrayer et d’attendre avec confiance l’accomplissement du projet de Dieu. Cela ne veut pas dire qu’on doit rester passif. Nous sommes, tous, engagés dans un combat contre les forces du mal. Mais ceux qui auront persévéré jusqu'au bout, nous dit Paul, recevront "la couronne de justice." C'est une manière de dire que nous sommes tous appelés à la sainteté. Le Seigneur attend de nous que nous restions fermes et fidèles à notre baptême. Paul : « nous prions pour vous, à tout moment, afin que notre Dieu vous trouve dignes de l’appel qu’il vous a adressé… Ainsi, le nom de notre Seigneur sera glorifié en vous, et vous en lui »

Mais ce témoignage n'est pas le résultat de performances personnelles. C'est le Seigneur lui-même qui fait sans cesse le premier pas vers nous. Il est capable de venir nous chercher très loin et très bas. C'est cette bonne nouvelle que nous lisons dans l'Évangile de ce jour. Cela se passe à Jéricho. C'est une ville païenne (une ville de pécheurs). Mais Jésus n'est pas celui qui accuse le pécheur (mais il n’aime pas le péché). Bien au contraire, il vient l'éclairer pour qu'il voie son péché et qu'il en sorte.

C'est ce qui va se passer avec Zachée. Cet homme n'était pas seulement publicain (collecteur des impôts pour l'occupant romain) ; il était aussi le chef des publicains. Il était donc très voleur, très pécheur et très riche. Or voilà que cet homme a un ardent désir de voir Jésus. Il court devant, il monte sur un sycomore pour voir Jésus qui devait passer par là. À partir de ce moment, tout va se passer bien au-delà de ce qui était prévu : Jésus appelle Zachée ; la première chose qu'il lui demande c'est de descendre. En effet, Zachée s'est trompé. Si on veut faire une rencontre personnelle avec Jésus, il ne faut pas monter, il faut descendre. Lui-même s'est fait le plus petit et le plus pauvre – pour nous et pour notre salut. C'est en descendant que nous pourrons le rencontrer.

Jésus s'invite donc dans la maison de Zachée. Pour cet homme méprisé de tous, c'est vraiment un jour de joie. Il n'avait jamais imaginé que cela puisse lui arriver. Cette simple rencontre avec Jésus a été un bouleversement complet pour lui. Zachée se tient debout devant Jésus : c'est l'attitude du priant. Le fait d'être en présence de Jésus amène Zachée à se convertir : il décide de donner la moitié de ses biens aux pauvres. Pourquoi la moitié ? Parce que l'autre moitié n'est pas à lui mais à l'occupant romain. Donc il donne tout aux pauvres et en plus, il décide de réparer les torts qu'il a causés.

Cet Évangile nous dit la joie de Jésus : "Aujourd'hui, le Salut est arrivé dans cette maison ». C’est cette vois que nous cherchons à chaque messe. Zachée est sauvé, il est sorti du monde du mal, sorti de Jéricho. Il devient fils d'Abraham. Il entre dans l'alliance que Dieu a établie avec les hommes. Jésus est venu chercher et sauver ceux qui étaient perdus. Ce qu'il a fait pour Zachée, il le fait aussi pour chacun de nous. Il attend que nous descendions de notre arbre ; cet arbre, c'est celui où nous nous cachons pour rester en dehors des combats des hommes ; c'est celui de nos certitudes, celui de notre bonne ou mauvaise conscience…

Nous sommes tous invités à descendre de notre piédestal pour nous laisser habiter par Jésus lui-même. Il nous faut aussi accepter de laisser les autres entrer dans notre vie. Le vrai Dieu, celui qui Jésus est venu nous révéler, c’est précisément celui de tous les exclus, qu’ils soient riches ou pauvres (la première lecture) …. « Tu as pitié de tous les hommes, parce que tu aimes tout ce qui existe »

En ce jour, nous te prions Seigneur pour tous les Zachée de la terre, tous ceux et celles qui sont rejetés et méprisés à cause de leur passé et de leurs actes. Tu veux demeurer chez eux comme chez nous. Par ton Eucharistie, tu nous invites chez toi. Que notre rendez-vous à l'eucharistie nous transforme comme il a transformé le publicain de Jéricho. Amen
 

Message du pape François pour le Carême en 2016

Pope_Francis_in_March_2013

« C’est la miséricorde que je veux, et non les sacrifices » (Mt 9,13). 
Les œuvres de miséricorde dans le parcours jubilaire

1. Marie, icône d’une Église qui évangélise parce qu’elle a été évangélisée

Dans la Bulle d’indiction du Jubilé, j’ai invité à faire en sorte que « le Carême de cette Année Jubilaire [soit] vécu plus intensément comme un temps fort pour célébrer et expérimenter la miséricorde de Dieu » (Misericordiae vultus, n. 17). Par le rappel de l’écoute de la Parole de Dieu et l’initiative « 24 heures pour le Seigneur », j’ai voulu souligner la primauté de l’écoute priante de la Parole, plus particulièrement de la Parole prophétique. La miséricorde de Dieu est certes une annonce faite au monde : cependant chaque chrétien est appelé à en faire l’expérience personnellement. C’est pourquoi, en ce temps de Carême, j’enverrai les Missionnaires de la Miséricorde afin qu’ils soient pour tous un signe concret de la proximité et du pardon de Dieu.

Parce qu’elle a accueilli la Bonne Nouvelle annoncée par l’archange Gabriel, Marie chante prophétiquement dans son Magnificat la miséricorde par laquelle Dieu l’a choisie. La Vierge de Nazareth, promise comme épouse à Joseph, devient ainsi l’icône parfaite de l’Église qui évangélise car elle a été et demeure constamment évangélisée par l’œuvre de l’Esprit Saint qui a fécondé son sein virginal. Dans la tradition prophétique – et déjà au niveau étymologique – la miséricorde est étroitement liée aux entrailles maternelles (rahamim) et à une bonté généreuse, fidèle et compatissante (hesed) qui s’exerce dans les relations conjugales et parentales.

2. L’alliance de Dieu avec les hommes : une histoire de miséricorde

Le mystère de la miséricorde divine se dévoile au cours de l’histoire de l’alliance entre Dieu et son peuple Israël. Dieu, en effet, se montre toujours riche en miséricorde, prêt à reverser sur lui en toutes circonstances une tendresse et une compassion viscérales, particulièrement dans les moments les plus dramatiques, lorsque l’infidélité brise le lien du pacte et que l’alliance requiert d’être ratifiée de façon plus stable dans la justice et dans la vérité. Nous nous trouvons ici face à un véritable drame d’amour où Dieu joue le rôle du père et du mari trompé, et Israël celui du fils ou de la fille, et de l’épouse infidèles. Ce sont les images familières, comme nous le voyons avec Osée (cf. Os 1-2), qui expriment jusqu’à quel point Dieu veut se lier à son peuple.

Ce drame d’amour atteint son point culminant dans le Fils qui s’est fait homme. Dieu répand en lui sa miséricorde sans limites, au point d’en faire la « Miséricorde incarnée » (Misericordiae Vultus, n. 8). En tant qu’homme, Jésus de Nazareth est fils d’Israël dans le plein sens du terme. Il l’est au point d’incarner cette écoute parfaite de Dieu demandée à tout Juif par le Shemà qui constitue, aujourd’hui encore, le cœur de l’alliance de Dieu avec Israël : « Écoute, Israël : le Seigneur notre Dieu est le seul Seigneur. Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toutes tes forces » (Dt 6, 4-5). Le Fils de Dieu est l’Époux qui met tout en œuvre pour conquérir l’amour de son Épouse. Il lui est lié par son amour inconditionnel qui se manifeste dans les noces éternelles avec elle.

Ceci constitue le cœur vibrant du kérygme apostolique où la miséricorde divine tient une place centrale et fondamentale. Il est « la beauté de l’amour salvifique de Dieu manifesté en Jésus-Christ, mort et ressuscité » (Exhort. apost. Evangelii gaudium, n. 36), cette première annonce « que l’on doit toujours écouter de nouveau de différentes façons, et que l’on doit toujours annoncer de nouveau durant la catéchèse » (Ibid., n. 164).La miséricorde alors « illustre le comportement de Dieu envers le pécheur, lui offrant une nouvelle possibilité de se repentir, de se convertir et de croire » (Misericordiae Vultus, n. 21), restaurant vraiment ainsi la relation avec Lui. En Jésus Crucifié, Dieu veut rejoindre l’homme pécheur jusque dans son éloignement le plus extrême, précisément là où il s’est égaré et éloigné de Lui. Et ceci, il le fait dans l’espoir de réussir finalement à toucher le cœur endurci de son Épouse.

3. Les œuvres de miséricorde

La miséricorde de Dieu transforme le cœur de l’homme et lui fait expérimenter un amour fidèle qui le rend capable d’être, à son tour, miséricordieux. C’est à chaque fois un miracle que la miséricorde divine puisse se répandre dans la vie de chacun de nous, en nous incitant à l’amour du prochain et en suscitant ce que la tradition de l’Église nomme les œuvres de miséricorde corporelles et spirituelles. Elles nous rappellent que notre foi se traduit par des actes concrets et quotidiens, destinés à aider notre prochain corporellement et spirituellement, et sur lesquels nous serons jugés : le nourrir, le visiter, le réconforter, l’éduquer. C’est pourquoi j’ai souhaité que « le peuple chrétien réfléchisse durant le Jubilé sur les œuvres de miséricorde corporelles et spirituelles. Ce sera une façon de réveiller notre conscience souvent endormie face au drame de la pauvreté, et de pénétrer toujours davantage le cœur de l’Évangile, où les pauvres sont les destinataires privilégiés de la miséricorde divine » (Ibid., n. 15). Dans la personne du pauvre, en effet, la chair du Christ « devient de nouveau visible en tant que corps torturé, blessé, flagellé, affamé, égaré… pour être reconnu par nous, touché et assisté avec soin » (Ibid.). Inouï et scandaleux mystère qui prolonge dans l’Histoire la souffrance de l’Agneau innocent, buisson ardent brûlant d’un amour gratuit, et devant lequel nous ne pouvons, à la suite de Moïse, qu’ôter nos sandales (cf. Ex 3,5) ; et ceci plus encore quand ce pauvre est notre frère ou notre sœur en Christ qui souffre à cause de sa foi.

Face à cet amour, fort comme la mort (cf. Ct 8,6), le pauvre le plus misérable est celui qui n’accepte pas de se reconnaître comme tel. Il croit être riche mais, en réalité, il est le plus pauvre des pauvres. Et s’il est tel, c’est parce qu’il est esclave du péché qui le pousse à user de la richesse et du pouvoir non pas pour servir Dieu et les autres, mais pour étouffer en lui l’intime conviction de n’être, lui aussi, rien d’autre qu’un pauvre mendiant. D’autant plus grands sont le pouvoir et les richesses dont il dispose, d’autant plus grand est le risque que cet aveuglement devienne mensonger. Il en vient à ne même plus vouloir voir le pauvre Lazare qui mendie à la porte de sa maison (cf. Lc 16, 20-21), figure du Christ qui, dans les pauvres, mendie notre conversion. Lazare est cette opportunité de nous convertir que Dieu nous offre et que peut-être nous ne voyons pas. Cet aveuglement est accompagné d’un délire orgueilleux de toute-puissance, dans lequel résonne, de manière sinistre, ce démoniaque « vous serez comme des dieux » (Gn 3,5), qui est à la racine de tout péché. Un tel délire peut également devenir un phénomène social et politique, comme l’ont montré les totalitarismes du XXe siècle, et comme le montrent actuellement les idéologies de la pensée unique et celles de la technoscience qui prétendent réduire Dieu à l’insignifiance et les hommes à des masses qu’on peut manipuler. Ceci, de nos jours, peut être également illustré par les structures de péché liées à un modèle erroné de développement fondé sur l’idolâtrie de l’argent qui rend indifférentes au destin des pauvres les personnes et les sociétés les plus riches, qui leur ferment les portes, refusant même de les voir.

Pour tous, le Carême de cette Année jubilaire est donc un temps favorable qui permet finalement de sortir de notre aliénation existentielle grâce à l’écoute de la Parole et aux œuvres de miséricorde. Si à travers les œuvres corporelles nous touchons la chair du Christ dans nos frères et nos sœurs qui ont besoin d’être nourris, vêtus, hébergés, visités, les œuvres spirituelles, quant à elles, – conseiller, enseigner, pardonner, avertir, prier – touchent plus directement notre condition de pécheurs. C’est pourquoi les œuvres corporelles et les œuvres spirituelles ne doivent jamais être séparées. En effet, c’est justement en touchant la chair de Jésus Crucifié dans le plus nécessiteux que le pécheur peut recevoir en don la conscience de ne se savoir lui-même rien d’autre qu’un pauvre mendiant. Grâce à cette voie, « les hommes au cœur superbe », « les puissants » et « les riches », dont parle le Magnificat ont la possibilité de reconnaître qu’ils sont, eux aussi, aimés de façon imméritée par le Christ Crucifié, mort et ressuscité également pour eux. Cet amour constitue la seule réponse à cette soif de bonheur et d’amour infinis que l’homme croit à tort pouvoir combler au moyen des idoles du savoir, du pouvoir et de l’avoir. Mais il existe toujours le danger qu’à cause d’une fermeture toujours plus hermétique à l’égard du Christ, qui dans la personne du pauvre continue à frapper à la porte de leur cœur, les hommes au cœur superbe, les riches et les puissants finissent par se condamner eux-mêmes à sombrer dans cet abîme éternel de solitude qu’est l’enfer. C’est alors que résonnent à nouveau, pour eux comme pour nous tous, les paroles ardentes d’Abraham : « Ils ont Moïse et les Prophètes, qu’ils les écoutent ! » (Lc 16,29). Cette écoute agissante nous préparera le mieux à fêter la victoire définitive sur le péché et sur la mort de l’Epoux qui est désormais ressuscité, et qui désire purifier sa future Épouse dans l’attente de son retour.

Ne laissons pas passer en vain ce temps de Carême favorable à la conversion ! Nous le demandons par l’intercession maternelle de la Vierge Marie, qui, la première, face à la grandeur de la miséricorde divine dont elle a bénéficié gratuitement, a reconnu sa propre petitesse (cf. Lc 1,48) en se reconnaissant comme l’humble Servante du Seigneur (cf. Lc 1,38).

François

 
 

FAMECK  - Invitation à la fête patronale de St Martin -  Dimanche

La communauté chrétienne de Fameck a vécu avec joie et solennité la fête patronale de  Saint Martin le dimanche 16 Novembre, à 10h00. 

Cet évènement nous rappellera ce geste noble, digne et plein de compassion d'un soldat romain qui a partagé la moitié de sa tunique avec un pauvre de la rue.

Nous invitons tous les paroissiens et les associations qui sont rattachées à notre Paroisse par les fêtes de la Saint Jean, de Sainte Anne et du 15 août.
La célébration a été
suivie du pot de l'amitié!

Jean-Pascal Diame


 


FLORANGE Rassemblement des chorales et chanteurs liturgiques
dimanche 19 Octobre à Metz

La chorale Sainte Cécile de Florange a participé au Rassemblement Diocésain des chorales et chanteurs liturgiques qui s'est déroulé dimanche 19 octobre à la
cathédrale de Metz.


Cette belle manifestation organisée par la Commission Diocésaine de Musique Liturgique ( CDML ) a réuni plus de 1200 participants.
Notre chorale a dignement représenté la zone de Thionville. Monseigneur Jean-Christophe Lagleize évêque de Metz, après avoir célébré la messe a
félicité les acteurs de cette belle prestation.
Fabienne Zanuttini

 

FAMECK - dimanche 26 octobre 2014P. Yves-Marie 

Une belle prière pour la semaine

Tu nous demandes, Seigneur de tendresse, de t’aimer de tout notre cœur.
Vois notre amour : il est si fragile.
Brûle notre cœur, nous te prions, au feu de ton amour
Et nous t’aimerons éternellement.
 
Tu nous demandes, Dieu de tendresse, de t’aimer de toute notre âme.
Vois notre amour : il est si faible.
Illumine notre âme, nous te prions, par la splendeur de ta beauté
Et nous t’aimerons éternellementu.
 
Tu nous demandes, Dieu de tendresse, de t’aimer de tout notre esprit.
Vois notre amour : il est si changeant.
Transfigure notre esprit, nous te prions, par la force de ton Esprit
Et nous t’aimerons éternellement.
 
Tu nous demandes, Dieu de tendresse, d’aimer notre prochain comme nous-mêmes.
Vois notre amour : il est si égoïste.
Transfigure nos amours humains, nous t’en prions, par la splendeur de ta présence
Et nous t’aimerons éternellement.
Tout cela, nous te le demandons à toi qui nous aimes infiniment, chaque jour et jusque dans les siècles des siècles.

 


UCKANGE - Dimanche 19 octobre 2014

Repas (Paëlla) de l'amitié

au profit de la paroisse catholique

au cente Socio-culturel (Diapason) 

à 12 h 30


Dimanche 19 octobre, à l’invitation du Conseil de Fabrique
d’Uckange, près de 120 personnes se sont retrouvées au DIAPASON
pour le repas annuel.
Dans une ambiance chaleureuse, les convives ont apprécié la sangria et la paella préparées par les membres de la Communauté espagnole. Certains se sont même risqués quelques pas de danse au son du synthé joué par Baptiste.
La recette de plus de 2. 600€ est destinée aux frais de la Paroisse.
Merci encore à tous, participants et organisateurs. Rendez-
vous a déjà été pris pour l’année prochaine.
Basil Diké
 


 

UCKANGE

Journées du patrimoine 20-21 septembre 2014

Voilà 16 ans que le Conseil de Fabrique d'Uckange n'avait pas ouvert les portes de l'église pour les journées du patrimoine. Ce sera chose faite le samedi 20 et dimanche 21 septembre de 14 à 18 h dans le cadre des 31 ème Journées Européennes du Patrimoine.
André Beringue et toute son équipe vous présenteront

  • diverses expositions,

  • des visites de l'orgue,

  • et une audition de morceaux par son titulaire.

Réservez dès à présent votre après midi afin de passer un agréable moment avec le passé.

 Renseignements : Denis Bragante 

 
  • soit avant ou après les offices du dimanche,

  • soit par téléphone au 06 62 47 53 10 après 19h30

 

UCKANGE    La chorale paroissiale

Les choristes de la chorale paroissiale reprennent les répétitions tous les mercredis à compter du 03 septembre. Ils se retrouvent à l'église d'Uckange à 20 h  sous la houlette de leur organiste et chef de chœur Denis Bragante.
Les personnes voulant les rejoindre peuvent se renseigner sur place,  avant ou après les offices, soit au 06 62 47 53 10 après 19h30.

Renseignements : Denis Bragante 

  • soit avant ou après les offices du dimanche, 

  • soit par téléphone au 06 62 47 53 10 après 19h30


UCKANGE        Récital d'orgue -
Dimanche 12 octobre - 15 h 30

Dans le cadre des 10 ans de la restauration de l'orgue d'Uckange, il y aura un récital par Vincent Warnier, titulaires des grandes orgues de l'église St Etienne du Mont à Paris ,de la cathédrale de Verdun et de l'orchestre National de Lyon, le dimanche 12 octobre à 15h30. Au programme, des œuvres de Bach, Mendelsshon, Guilmant, Boely, Schumann et Widor. Retransmission du concert sur écran géant


 


EBANGE


Belle journée, bons moments de partage ,
pas moins de 100 personnes à qui nous disons merci pour leur présence et donnons rendez-vous  l’année prochaine !

Marie Claire Albertazz


 
 



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