MIGRANTS

15 janvier 2017 Journée mondiale du Migrant et du Réfugié 
" Mineurs migrants vulnérables et sans voix !"


" L'amour du Christ nous presse"
Une célébration oecuménique pour la semaine de prière pour l'unité des chrétiens,a eu lieu le jeudi 19 janvier, à 18h en l'église Saint Martin de Fameck, à partir d'un extrait de la 2ème lettre de St Paul adressée aux Corinthiens :

"L’amour du Christ nous y presse" 2 Co 5, 14-20
               
Cette célébration est préparée depuis deux mois avec une petite équipe d'ami(e)s protestant(e)s, orthodoxes, catholiques.

 

 

Seigneur, Dieu de l’univers, Tu es le Père
de tous les enfants de la terre. Tu connais chacun.
Tu nous regardes non comme des êtres anonymes
mais comme des personnes, avec un visage, une histoire.
Chacun est pour toi un enfant bien-aimé !
 
Apprends-nous à nous regarder les uns les autres,
comme toi, tu nous regardes.
Enseigne-nous à oser croiser le regard de l’autre.
Ouvre nos yeux pour te rencontrer en nos frères et sœurs.
 
Tu as une prédilection pour les petits.
Comme Jésus tu te tournes vers les enfants et les jeunes.
Chaque enfant est une bénédiction de toi.
Nous te rendons grâce pour leur force de vie
et pour l’espérance dont ils témoignent.
Ils nous rappellent que l’avenir est devant nous :
un avenir à construire ensemble, en humanité.
Chacun peut y apporter sa pierre pour que la vie, la paix et l’espérance éclosent.
 
Tu ne détournes pas les yeux quand la vie est menacée.
Aucune souffrance, aucune vulnérabilité ne te sont étrangères.
Tu entends les cris de tes enfants : ceux de nos voix comme ceux
de nos gestes, de nos corps, de nos regards.
Tu vois la main tendue et le corps sans vie ;
tu vois le regard accueillant et les barrières que l’on dresse ;
tu entends les larmes d’une mère après le naufrage
et le rire de l’enfant qui a trouvé une nouvelle patrie.
 
Voici nos yeux, nos mains, nos intelligences et nos vouloirs.
Investis nos existences de ta bonté et de ta sagesse.
Donne-nous un coeur éveillé et compatissant.
Fais-nous grandir en humanité : en paroles et en actes.
Enseigne-nous le chemin vers la Vie. Amen.



Pastorale des migrants
La mission de la pastorale des migrants comprend 2 axes :

  • 1. Accueillir, écouter, soutenir, accompagner humainement, spirituellement, administrativement, les migrants quelle que soit leur situation, qu’ils soient croyants ou non.
  • 2. Sensibiliser les communautés catholiques locales à l’accueil de ces frères étrangers, notamment par la célébration de la Journée Mondiale du Migrant et du Réfugié, qui a lieu chaque année en janvier depuis 1914.

Dans notre communauté de Paroisse de Frédéric Ozanam (Fameck, Florange et Uckange), ce service est assuré par une équipe de dizaine de bénévoles.
Cinq dames donnent des cours de FLE (Français langue étrangère) et dispensent chacune à peu près 2 fois 2 heures de cours par semaine à une trentaine de personnes... mais cela déborde souvent en temps de conseils et d’accompagnement humain.
Nous avons organisé, sur Florange, une petite fête avant les vacances de Noël.

 

Cette année à l'occasion de la journée mondiale du migrant et du réfugié, l’église nous propose un thème : « mineurs migrants vulnérables et sans voix » ; « quiconque accueille en mon nom un enfant comme celui-ci, c’est moi qu’il accueille…Marc 9,37 ».
 

P. Daniel


102e Journée Mondiale du Migrant et du réfugié

"Migrants et réfugiés nous interpellent.

La réponse de l'Evangile de la miséricorde"

Parler des migrants, sur notre secteur de paroisse – Fameck, Florange et Uckange, n'est pas chose facile aujourd'hui car chacun a ses propres représentations mentales…Le migrant est peut-être pour vous, votre ancien voisin de classe venu d'Italie ou du Portugal, qui est devenu votre ami. Cela peut-être aussi l'ouvrier algérien qui a travaillé dans votre équipe à l'usine. Ou le médecin roumain ou l'infirmière espagnole que vous avez croisés à l'hôpital Bel-Air. Le restaurateur chinois ou vietnamien, chez qui vous avez vos habitudes. Plus récemment, un demandeur d’asile dans ces longues files de réfugiés frappant aux portes de l’Europe. Ou une photo d'un jeune enfant syrien, sur une plage…
 

Mais le migrant est peut-être vous-même.

 
Depuis une dizaine d'années, les migrants d’hier et d’aujourd’hui, qui le souhaitent, sont accueillis par des bénévoles dans le cadre de la Pastorale des migrants par notre diocèse de Metz. Pas de publicité, ils nous connaissent par le bouche à oreille, par le biais des assistantes sociales, des CCAS, des mairies qui donnent l’adresse. Ils trouvent sur place un lieu où ils sont reçus avec bienveillance ; ils assistent à des cours de FLE (Français Langue Etrangère) car la maîtrise de la langue est primordiale. Ils reçoivent des vêtements, de la vaisselle, des meubles... donnés par des particuliers. Des ateliers de peinture pour tous, des groupes de parole pour les femmes permettent aux personnes de sortir de chez elles et d'échanger. L’ambiance est détendue et agréable, chacun dépose ses soucis à l'entrée du presbytère, migrants ou enseignants, et chacun est ouvert aux autres.
La Pastorale a créé des liens avec les autres associations sur notre secteur de paroisses, par exemple, avec le Secours Catholique, l’ACAT et l’ACE pour aider les familles à s’intégrer et pour faciliter un mieux-vivre ensemble.
  
Les migrants que nous côtoyons sur notre secteur de paroisse sont très divers.
Ils sont originaires de presque tous les continents (Chinois, Brésiliens, Russes, Zaïrois, Hongrois, Serbes, …).
Certains n'ont pas de problème ni d'intégration, ni financiers. Ils sont européens de la zone Schengen, travaillent ou ont des conjoints qui travaillent.  Ils viennent pour apprendre le français. D’autres sont en très grande précarité, ils viennent de régions plus lointaines,  là où les guerres ont ruiné l'économie, et où la corruption des élites et le mal-développement  rendent la vie très difficile. Les derniers arrivés viennent de pays en guerre, Syrie, Irak, Afghanistan... Quelques-uns ont immédiatement reçu un statut de réfugiés politiques, d'autres sont en demande d'asile. Il faut les aider apprendre la français, mais aussi des valeurs française.
Les valeurs, ce sont des idéaux français. Au lendemain des attentats, nous avons beaucoup parlé des valeurs de la République française : Liberté, Egalité, Fraternité. Les personnes que nous côtoyons  étaient très demandeurs de ces débats ! Nous tenons aussi à parler du statut de la femme en France et donc de l'égalité homme/femme. Nous évoquons  aussi la notion de laïcité : respect de tous, quelque soit la religion, et respect de ceux qui n'ont pas de croyance religieuse.
J’accueil sont qui sont disponible à faire cette pastorale avec moi sur notre secteur de paroisse de Frédérique Ozanam.

P. Daniel Muhame,CSSp.
 

 
  Message du Pape François 102eme-journee-mondiale-du-migrant-et-du-refugie.doc

Après  les  attentats : de  l’émotion  à  la  réflexion 

Ces événements tragiques, d’une extrême violence, bouleversent notre société, interpellent les consciences, dans toutes les communautés.
 
Monseigneur Bernard Clément et l’équipe diocésaine de la Pastorale des Migrants, invitent les
 chrétiens et les personnes de bonne volonté à un moment de réflexion.
Tout va très vite, les informations se bousculent, nous sommes donc appelés à un discernement.
Par nos prises de paroles, nos affirmations, nos attitudes visibles, nos gestes, allons-nous contribuer à être des témoins d’unité, de fraternité, de bâtisseurs de paix ? ou bien allons-nous laisser le doute et la peur nous gagner et changer notre façon de regarder les autres, les étrangers, les réfugiés, les exilés ?
 
Depuis les attentats, les migrants aussi ont peur de rester dehors …
       «  Plus personne en Europe ne va vouloir de nous » réagit ce Kurde de Syrie .
Nous, chrétiens, nous ne sommes pas à l’abri de certaines tentations…ces événements nous obligent à réfléchir, ils nous concernent tous, aujourd’hui, demain, dans la durée.
En dépit de l’accueil fraternel d’une partie des riverains, de leurs applaudissements chaleureux, ici, dans notre région, comme ailleurs, nous avons vu cette pancarte sur le toit du centre où des Sud-Soudanais étaient accueillis pour passer l’hiver «  on est chez nous, rentrez chez vous »
Que chacun de nous puisse prendre un temps de recueillement, de silence, pour mettre en lumière ce qui est essentiel, ce que nous avons en commun : notre humanité.
Comme une lampe allumée, quelques paroles d’un texte de l’Abbé Pierre :
 
                             «  Je continuerai à croire, même si tout le monde perd espoir.
                                 Je continuerai à aimer, même si les autres distillent la haine.
                                 Je continuerai à construire, même si les autres détruisent.
                                 Je continuerai à parler de paix, même au milieu d’une guerre.
                                 Je continuerai à semer, même si les autres piétinent la récolte… »
De quoi, nous, chrétiens, sommes-nous capables d’être témoins ?
                       «   Heureux les artisans de paix, car ils seront appelés fils de Dieu   »

«  ALORS, PEUT-ON PASSER DE L’HOSTILITE A L’HOSPITALITE ? »
 C’est la question que nous voulons faire durer…
 La venue des réfugiés Sud-Soudanais dans un petit village de notre région a suscité des réactions diverses, chaleureuses, fraternelles pour certains, beaucoup plus réservées pour d’autres avec son cortège de craintes et de peurs envers ces étrangers venus d’ailleurs ..
Ailleurs, c’est le Sud-Soudan, un pays en proie à une guerre civile d’une grande violence, ces jeunes hommes ont fui cette région, ils viennent juste passer l’hiver chez nous…
Comment démolir un préjugé ? une idée toute faite ? une peur irraisonnée ?
 Comment passer de la peur à la confiance ?
 Jésus accueille sans faire de différences,, ne pose pas de questions sur leurs origines à ceux qui sont devant lui,  il accueille totalement, sans réserve !
 
En invitant les disciples à trouver eux-mêmes comment répondre à une situation en apparence
difficile, Jésus révèle que nous avons une responsabilité les uns envers les autres, et que la priorité pour lui, c’est l’Homme dans toute sa dimension .
 «  Parce qu’elle était chrétienne, comme nous tous, notre fille , mariée à peine depuis 2 mois a été arrêtée, maltraitée, jetée par terre, assassinée, par miracle, j’ai pu récupérer son corps pour l’enterrer près de chez nous »
Chez eux, c’est Alep, en Syrie, où le père était professeur d’université.
« nous sommes partis pour sauver nos garçons, tant pis pour ce que la famille a dû laisser derrière elle, mais le plus dur reste la perte d’un être cher, les maisons, les églises, ça peut se reconstruire, mais on ne peut pas faire revenir les personnes..la reconstruction de l’Humain doit passer avant toute chose »
 ( Claude réfugié en France )
 
Interrogeons-nous :
De la vie des ces personnes qui fuient leur pays, que savons- nous ?
Nous aussi parfois nous avons des idées toutes faites sur «  ces gens venus d’ailleurs »
 
Nous est-il arrivé de penser que Jésus, le fils de Dieu, dont nous nous préparons à célébrer bientôt la naissance, est né sur une autre terre que la nôtre, loin d’ici, sur une terre du Moyen-Orient ?   

Dimanche 18 janvier 2015 - Journée Mondiale du Migrant et du réfugié

Dimanche 18 janvier 2015, l’Eglise Catholique célèbre la 101e Journée Mondiale du Migrant et du Réfugié,  avec comme thème

Eglise sans frontières, Mère de tous.

Témoignages du Service de la Pastorale des Migrants du diocèse

Une bénévole : chaque hiver le relais des Etangs à Languimberg (ancienne ferme située à 18 kilomètres de Sarrebourg, rénovée en centre d’hébergement, propriété de la Fédération Culture et Liberté de Moselle) accueille des migrants installés Avenue Blida à Metz. Présidente de Chrétiens dans le Monde Rural (CMR) et responsable d’équipe sur Sarrebourg, nous avions évoqué plusieurs fois ce sujet : que faire pour nos frères venus d’ailleurs ?
 Une religieuse qui donne des cours de Français Langue Etrangère (FLE) à Sarrebourg depuis quelques années nous accompagne pour une première visite. L’accueil fut très chaleureux, une cinquantaine d’hommes la plupart « jeunes » sont hébergés pour une durée indéterminée, éloignés de tout (ville, commerces, administrations). Nous ressentions un appel, un besoin, nous ne sommes ni professeurs, ni animatrices et notre temps, comme à tous, est limité. Toutefois nous accompagnons deux fois par semaine la religieuse et participons à cet apprentissage oral du français. La plupart des personnes accueillies parlent deux voire trois langues, les échanges sont intéressants. J’en ressors épuisée mais tellement impressionnée par cette écoute, cette chaleur et finalement je suis heureuse d’y retourner. C’est être simplement solidaire et accepter nos différences, qui ne sont que richesses, avec d’autres personnes dans la souffrance. Certains sont chrétiens et désirent participer à nos offices religieux. Nous recevons autant que nous donnons, nous pouvons en témoigner autour de nous et combattre encore beaucoup de préjugés dans ce domaine.

Une autre bénévole : j'habite à Metz depuis très peu de temps, en arrivant, les femmes de l'immeuble où je suis m'ont dit : il y a un camp de réfugiés à 300 mètres, on les voit passer toute la journée... Je me demandais bien à quoi je pourrais les reconnaître, en faisant attention, j'ai vu surtout des jeunes hommes, ils marchent à plusieurs, presque toujours le téléphone portable à l'oreille, ils parlent une langue que je ne comprends pas, et ils me disent bonjour... Dans une ville, où on croise des gens mais où personne ne vous salue, cela me surprend....


Un prêtre : en janvier 2014, lors de la Journée Mondiale du Migrant et du Réfugié, nous avions fait participer des migrants à la célébration (témoignage, procession des offrandes, intentions de prière). Ils étaient une quinzaine, parents et enfants, musulmane, chrétiens orthodoxes, qui habitent à 50 mètres de l'église… Et dans l'homélie, je leur avais dit : « cette maison, notre église, est la vôtre. Venez quand vous voulez, chaque fois que vous sentez le besoin de prier Dieu ».  
Le week-end dernier, une famille de l'Eglise Apostolique Arménienne était là à la messe : la fille, qui vient d'obtenir le bac, la maman et aussi le papa. Nous les avions beaucoup aidés pour obtenir les papiers, pour apprendre le français. Ils ont vécu pleinement l'eucharistie jusqu'à s'avancer pour communier. Ils sont revenus le lendemain pour le concert de Noël. "Eglise sans frontières, Mère de tous".



19 Janvier 2014 - Journée Mondiale du Migrant et du réfugié 

Le dimanche 19 janvier 2014, nous avons célébré la 100ème journée mondiale du Migrant et du réfugié, avec pour thème

"Migrants, Réfugiés, vers un monde meilleur".  

Témoignage de Vera, du Kosovo
Quand on est étranger on ne parle pas aux autres. Si je ne vous parle pas, comment      allez-vous savoir qui je suis et ce que je pense ? Je suis étrangère par la parole, mais Dieu a une seule langue. Celle de nous aimer les uns les autres qu’allons devenir si nous nous rendons étranger à la parole ?
C’est pour cela, que pour cette 100ème journée mondiale du migrant et du réfugié, je tenais à me faire connaître.

Quand j’ai quitté mon pays le Kosovo en 2011, toute ma famille était menacée par la police serbe, parce que mon père, prothésiste dentaire travaillait dans un hôpital en Serbie, pays à majorité chrétienne, et a soigné des patients venant du Kosovo, pays à majorité musulmane. Considéré comme un traître, il a été tué une nuit alors qu’il était de garde à l’hôpital.
Dans notre village, les affrontements devaient de plus en plus violents, il y avait des barrages sur les routes. Des persécutions et interpellations accompagnées de violences. Mes enfants ne pouvaient plus aller à l’école, mon mari ne pouvait plus exercer son métier de chauffeur de taxi, il était en danger permanent, ma mère veuve, était surveillée et menacée de mort par la police on l’accusait d’être la complice de mon père. La vie devenait un enfer.

Nous avons décidé de fuir, laissant derrière nous, tout ce que nous avions construit « NOTRE VIE », nous n’avions pas pu faire le deuil de l’être cher que nous venions de perdre.

Nous avons traversé l’Albanie à pieds, c’était assez dangereux, puis nous sommes passés par l’Italie. Chaque pays, chaque ville que nous traversions, nous coûtait beaucoup d’argent.
Nous sommes arrivés en France, épuisés, tristes, sans rien, nous avons été dirigés tout d’abord à l’hôtel Central de Fameck pendant 3 ans, puis sans aucune raison, nous avons été transférés dans des conditions déplorables, dans des anciennes casernes militaires de Montigny les Metz. Tout était à refaire, nouvelles adaptations : changement d’école pour les enfants, créer des nouveaux liens avec d’autres familles, changement de médecins, etc. etc….

Notre parcours fût long et difficile, adaptation d’une nouvelle culture, d’une nouvelle langue, nous étions confrontés à des refus administratifs pour l’obtention de nos titres de séjour, des démarches interminablesApprendre la langue, vivre  sans laisser paraître nos angoisses et nos souffrances et nos  douleurs à nos enfants ; donner, chaque jour, de la joie à nos enfants. Ce périple a duré 5 ans.

Aujourd’hui, grâce à cette terre d’asile où nous avons été accueillis et soutenus par des personnes qui comprennent la souffrance de l’exil, nous avons obtenu notre titre de séjour en mars dernier.
Tous nos efforts allaient être récompensés, mon mari a trouvé du travail en CDI, moi-même j’ai obtenu un contrat intérim, un logement m’a été attribué, mes enfants seront scolarisés dans la même école, ma mère veuve et malade vit avec nous.

Aujourd’hui, au Kosovo c’est encore difficile, la vie n’est pas sûre. Ill n’’y a pas de travail, on n’est pas sûrs de manger tous les jours. Après la guerre, il n’y a plus de fleurs, il n’y a que des armes…..
Rien n’est encore acquis mais notre persévérance, notre force dans la foi, nous aideront à continuer notre chemin vers un « monde meilleur ».

Ceci est mon histoire et celle de ma famille, Vera, mariée et maman de  3 enfants.
La lumière de chaque jour, est une lueur d’espoir pour le demandeur d’asile. Et pour cet espoir, je vous offre ce petit bouquet de fleur pour la paix et la liberté.
(Bouquet déposé dans un vase au pied de l'autel) 
 

 
Témoignages de migrants accueillis à nos célébrations

Nos frères migrants, chrétiens et musulmans, ont voulu témoigner :

 
  • «des mots réconfortants, j’ai ressenti une force. A mon retour j’ai eu une envie forte de partager ce moment merveilleux avec mon mari»
  • «je suis contente d’être venue je n’aurai pas voulu rater ça tellement c’était fort»
  • «J’ai été émue quand j’ai entendu la musique de prière de mon pays»
  • «J’ai pu avoir l’occasion de repenser à ma grand’mère très croyante»
  • «J’ai ressenti un moment de profonde joie et d’émotion . mon fils m’a dit «maman on retournera» 
  • «Je sais que ces  intentions de prières nous ont été destinées et nous remercions vivement le Père qui nous accueille dans son église»
  • «alors que j’étais désespérée grâce à cette célébration  j’ai imploré le Seigneur pour qu’il me vienne en aide, qu’il pose son regard bienveillant sur ma famille»

 
 
 



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